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10 Questions fréquentes sur les soins chiropratiques et les chiropraticiens au Québec avec réponses du Dr. Morin, Chiropraticien à Québec depuis 37 ans.
Vous avez d’autres questions sur les chiros au Québec? Posez les ci-dessous et le Dr. Morin se fera un plaisir d’y répondre!
1. Qu’entend-on par ajustement chiropratique?
2. Pourquoi entend-t-on un bruit lors d’un ajustement chiropratique avec les mains?
3. L’ajustement chiropratique sera-t-il douloureux pour moi?
4. Combien d’ajustements chiropratiques seront nécessaires pour mon cas?
5. Est-il convenable d’arrêter les soins lorsque je ne ressens plus aucune douleur?
6. Les radiographies sont-elles toujours nécessaires?
7. Les soins chiropratiques sont-ils à suivre pour la vie?
8. Quand vais-je commencer à me sentir mieux?
9. Puis-je également faire bénéficier des soins chiropratiques à mes enfants?
10. Est-ce que les personnes du troisième âge peuvent recevoir des soins chiropratiques?
1. Qu’entend-on par ajustement chiropratique?
L’ajustement chiropratique constitue l’approche que les chiropraticiens préconisent pour le rétablissement de la mobilité des articulations et la stimulation du système nerveux, et ce, particulièrement au niveau de la colonne vertébrale et du bassin.
Parfois, le terme traitement est utilisé au lieu d’ajustement, le traitement se retrouve d’avantage dans le domaine médical , il cible très souvent l’élimination des symptômes, alors qu’en chiropratique l’ajustement tente de favoriser un retour physiologique à la normale des fonctions de l’organisme via le rétablissement de la mobilité articulaire principalement du rachis. Le fait de faire retrouver la mobilité aux articulations permet d’assurer au système nerveux un fonctionnement optimal. Il s’agit d’une nuance sémantique importante qui souligne une nette différence entre l’approche chiropratique et l’approche médicale. A noter que si l’on réfère à la définition de Wikipédia :<En médecine, un traitement est l’acte de remédiation d’un problème desanté>ce terme peut être employé dans son sens large par les chiropraticiens.
À titre de rappel, le terme « chiropratique » vient de l’association de deux mots grecs « kheir » qui signifie « mains » et « praktikos » qui veut dire « faire » ou « exercer ». Ainsi, les ajustements chiropratiques sont majoritairement réalisés avec les mains.
2. Pourquoi entend-on un bruit lors d’un ajustement chiropratique avec les mains?
Il n’est pas rare d’entendre des bruits de cavitation au cours des ajustements chiropratiques. Ceux-ci témoignent de la contraction qui résulte de la succion dans les capsules articulaires sur le liquide synovial et l’azote.
Pouvant être assimilés aux bruits qui se font entendre lors de l’ouverture d’une boisson gazeuse, ces bruits de cavitation marquent l’ouverture des facettes articulaires et sont en aucun cas l’expression de la friction entre les os. Certaines techniques telles l’ACTIVATOR, le LOGAN BASIC ou le NIMMO ne provoquent aucune cavitation, donc pas de bruit audible.
3. L’ajustement chiropratique sera-t-il douloureux pour moi?
L’ajustement chiropratique en lui-même n’est pas douloureux. Néanmoins, dans le cas où une zone spécifique est très irritée, le patient peut ressentir de la douleur passagère. Toutefois, cette douleur ne provient pas de l’ajustement chiropratique mais plutôt des tissus adjacents qui sont irrités. Après quelques ajustements tout revient généralement à la normale.
4. Combien d’ajustements chiropratiques sont nécessaires pour mon cas?
Il n’y a pas de norme établie en ce qui concerne le nombre ajustements chiropratiques. Celui-ci va dépendre du temps requis pour rétablir l’amplitude et la symétrie normale des mouvements articulaires, chaque cas a une réaction qui lui est propre. Plusieurs facteurs entrent en jeu, cela dépendra : de l’âge du patient, de la sévérité de ses lésions articulaires, du temps d’évolution, de l’état de ses muscles et tout naturellement de son potentiel d’adaptabilité.
Il est important de souligner que la douleur ne constitue pas une référence fiable en ce qui concerne l’évolution clinique. En effet, celle-ci survient généralement en dernier lieu, mais est aussi la première à disparaître même si le problème est encore présent. Par conséquent, on tient plutôt compte de la qualité de la mobilité pour déterminer le nombre de visites nécessaires au patient et la durée des soins que nécessite sa condition.
5. Est-il souhaitable d’arrêter les soins lorsque je ne ressens plus aucune douleur?
Il n’est pas souhaitable mais tout à fait possible de les arrêter lorsque le patient ne ressent plus de douleur. Cependant, il faut comprendre qu’il est seulement question de le débarrasser des symptômes qui l’accablent et non de corriger avec certitude la source du problème. On peut donc considérer cette pratique comme la « chiro-aspirine », terme utilisé en chiropratique pour décrire ce comportement c’est-à-dire «bobo: je consulte, plus de bobo: j’arrête»
Ainsi, dans ce cas, les dysfonctions articulaires n’ont pas été éliminées, la dégénérescence va continuer sa progression et des symptômes plus sévères vont apparaître. Le mieux pour le patient est, de s’en tenir aux recommandations du chiropraticien qui le prend en charge car c’est lui qui va en tirer les bénéfices.
6. Les radiographies sont-elles toujours nécessaires?
Non, la décision de procéder à une étude radiographique n’est jamais prise avant de connaître l’histoire du cas du patient et d’avoir procédé à un examen chiropratique complet.
Aussi, cela va dépendre généralement du tableau clinique, mais également des possibilités de pathologie et des possibilités de contre-indications. D’emblée, il est à noter que les radiographies sont à éviter tant chez les jeunes de moins de 18 ans que chez les femmes enceintes.
7. Les soins chiropratiques sont-ils des soins à suivre pour la vie?
Ou, si vous désirez obtenir un fonctionnement optimal de votre organisme, ralentir l’arthrose et avoir le meilleur état de santé possible, les soins chiropratiques réguliers sont alors indiqués. Il est à noter que la chiropratique a toujours préconiser une approche qui ne se base pas uniquement sur les symptômes, mais également sur le fonctionnement optimal de tout l’organisme.
Par conséquent, le mieux est de ne pas attendre de ressentir des symptômes ou d’être malade avant de consulter le chiropraticien puisqu’il est autant question de prévention que de cure. Également, notez que les soins chiropratiques sont indiqués pour tous les membres de votre famille.
8. Quand vais-je commencer à me sentir mieux?
Souvent, le patient va commencer à noter des résultats encourageants entre la troisième et la huitième visite. Il faut également comprendre qu’il est rare que l’évolution se présente de manière continue. En effet, sur un tableau représentant cette évolution, on observe souvent des pics qui sont suivis de creux, comme des vagues. Il n’y a toutefois pas matière à s’inquiéter, car cela correspond tout à fait aux courbes oscillantes de la physiologie humaine globale.
9. Puis-je également faire bénéficier mes enfants des soins chiropratiques ?
Les soins chiropratiques sont indiqués pour tous les membres de la famille et les enfants y trouvent également leur compte, du nouveau-né à l’adolescent. On peut même affirmer qu’il est important pour eux de consulter le chiropraticien, car il est essentiel de procéder à des vérifications périodiques de leur colonne vertébrale puisqu’ils sont en pleine période de croissance. Il faut considérer que l’accouchement représente un stress physiologique majeur pour la colonne cervicale surtout s’il y a eu utilisation d’instruments (forceps/ventouses).
Également, il convient de corriger les dysfonctions articulaires dont les nouveaux-nés peuvent souffrir et qui peuvent être détectées grâce à la chiropratique. En effet, leur détection permet d’éviter qu’il n’ait pas d’autres problèmes par la suite, dont notamment la scoliose. Par ailleurs, étant donné que le corps de l’enfant est encore en pleine croissance et qu’il a encore un potentiel d’adaptabilité optimal, les résultats sont plus rapides et plus faciles à obtenir.
10. Est-ce que les personnes du troisième âge peuvent recevoir des soins chiropratiques?
Tout à fait, la conservation de la mobilité des articulations est un défi majeur chez les personnes du troisième âge; il n’y a donc aucune limite d’âge en ce qui concerne les soins chiropratiques. En revanche, seul le potentiel d’adaptation des tissus constitue une limite aux résultats des soins. Par ailleurs, il nous est déjà arrivé de constater des résultats quasi miraculeux chez des personnes nonagénaires, démontrant ainsi que le corps ne cesse de nous surprendre quant à ses ressources!
Rappelons que la mobilisation des articulations vertébrales est d’une part importante pour prévenir l’ankylose et d’autre part, elle est bénéfique pour le fonctionnement du système nerveux d’où l’adage : « le mouvement est l’expression de la vie et la vie s’exprime par le mouvement ».
Vous avez d’autres questions sur la chiropratique et ce qu’elle peut soigner? Poser votre question ci-dessous et le Dr. Morin, Chiro à Québec depuis 36 ans, se fera un plaisir de vous donner une réponse!